De la curée et du festin

Publié le par Pim

MAJ du 2/06/2011

 

On sait qu'en nos jours de démocratique parité, il est de la plus haute importance de rendre à Agrippine ce qui lui appartient et leur féminin aux mots qui - mais ce n'est là qu'un des nombreux vices du machisme dominant et justement exécrable - avaient le mauvais goût de se laisser écrire au masculin quand ils ne tradusaient qu'une fonction, c'est-à-dire un neutre en son genre.

C'est ainsi qu'il convient aujourd'hui, sous peine d'apparaître comme une sorte de Cromagnon, de bien veiller à écrire le féminin de ministre et celui d'auteur. La prononciation de ces féminins n'ayant rien d'élégant - mais au diable une telle précaution qui s'enticha de construire une langue selon le goût de ceux et ceusses qui la prononçaient -, certains hésiteront, se risquant à "ministresse" - dont on entend ici toute la hauteur de la fonction par le fait même des responsabilités qu'elle engendre - et "ôteuse".

Rien de grave, n'est-il pas ? La dite parité, se voulant la symbale d'une époque ne respectant rien de l'élégance, qu'aurait-elle à s'inquiéter d'une orthographe ?

 

 

Pour reprendre la dernière affaire à la mode, on pourra juger de ce qui a présidé à l'arrestation de M. DSK au battage dont celle-ci est l'objet. On passera sur ses aspects politico-judiciaires, dont on a déjà amplement parlé ici (articles précédents), pour ne considérer que les ordureries qu'elles a pu lever en un temps record de la part des miséreux salariés de l'artillerie médiatique, laquelle artillerie en campagne n'hésite pas à faire feu de tout bois, puisque de la fumée sort l'argent, tout en détournant le regard du chaland qu'elle fascine de ce qu'il ne doit PAS voir.

 

Après la mise en exergue de ce que le "présumé coupable" est un Français - un lapin gouverné par ses seules pulsions, donc, quand l'Amércain moyen, préfère, quant à lui, être gouverné par le time is money -, juif, richissime, au faîte de la puissance - en tant que patron de l'honnie institution financière mondiale (FMI) qui fait le malheur des pays pauvres - quand sa "victime" n'est qu'une esclave, noire, musulmane, immigrée, africaine, etc, ... (on voudra bien se reporter, pour compléter la chose, à toute la littérature misérabiliste, puits sans fonds dont on oublie de dire combien il a d'abord été creusé par cette époque de prédation), c'est-à-dire quand on aura largement exploité le filon consistant à livrer à la fureur et au ressentiment de l'immense majorité des pauvres de cette planète - qui viennent d'assister, impuissants, au spectacle d'un hold up international garanti par l'État au profit des banquiers -,

voici donc nos chères "fémininistes" - comme les nommait déjà Nietzsche - relevant le museau sur une sordide affaire de mœurs et s'en prévalant pour crier haro sur le baudet, c'est-à-dire l'homme, cet ennemi trop connu. Et tous nos petits plumitifs faisant leur plus-value du ressentiment d'emboîter aussitôt le pas, voulant hurler plus fort encore qu'il est odieux de battre sa femme, de la violer chaque fin de la semaine que le Kapital fait - on est Lapins ET on bosse - et de partir au boulot écrire ses mensonges salariés du jour sans avoir fait la vaisselle.

 

Qu'est ce que le féminisme ? Une revendication, pour la moitié de l'humanité, de ne pas être traitée comme du bétail par l'autre moitié. Une revendication légitime si, ainsi formulée, elle n'oubliait un petit détail, celui de la condition générale à laquelle une humanité soumise doit se résoudre du fait de ses lâchetés générales, de son aveuglement général, de ses dissensions internes générales, auxquelles elle se livre, en clans et factions rivales, histoire de ne pas se confronter à la vérité de sa situation, qui concerne l'humanité dans son ensemble, la condition même de l'humain face à la prédation, à la destruction dont il est à la fois la victime et le bourreau.

C'est dans le cours même de ses luttes contre ses conditions que l'humanité a "soudain" découvert qu'elle était scindée en hommes et femmes. Un face-à-face d'identités figées - du fait même des mœurs acquises de la domination et qui constituent la nécessité de sa reproduction, du fait des hommes comme des femmes*(1) -, est aussi bien une scission des forces, leur dissipation, leur mise sur des voies de garage, comme le sont toutes les prétendues luttes qui opposent entre elles telles catégories construites pour la "reconnaissance" de leur "identité" particulière ; mœurs d'esclaves, lesquels prétendent se libérer à l'intérieur de la même domination pour avoir droit à leur part du festin - le féminin en reste à ce jour douteux ; nous risquons ici festinte -.

 

En flattant l'atavisme culturel des "gardiennes du foyer et des traditions", tous les pouvoirs et autres gardiens de l'Ordre se sont toujours donnés la garantie d'un appui inconditionnel d'une pesante force de conservation qui, en contrepartie, en attendait protection. C'est en se posant comme bousculant résolument toute tradition - c'est-à-dire tout obstacle à la progression et au développement durable de l'argent, opposant "dynamisme" et "immobilisme", "jeunes "et "vieux", .. - en prétendant donc les libérer de leurs carcans patriarcaux, que la modernité entend aujourd'hui se donner cette garantie de soutien de la part des femmes, leur substituant les protections bancaires aux garanties patriarcales qui, de toute évidence, n'ont plus guère à dire face à de tels bulldozers.

N'est-ce pas au nom de la "libération des femmes afghanes" que se répandent, à la frontière de la Chine, terre de passage des gazoducs et de la culture du pavot, la soldatesque du Monde libre, ses drones et ses "dommages collatéraux" contre des populations civiles ? 

Le féminisme, sorti tout botté du prétendu égalitarisme anglo-saxon, en est aujourd'hui son bras armé. S'offusquant de ce que les femmes et les enfants ne puissent voter - dans une "démocratie" où seul l'argent pèse (ploutocratie) -, mais cantonnant ses "minorités" dans des réserves - à partir de quoi elles auront le droit au statut de quota - cet "égalitarisme" de boutiquier a fait de la lutte des classes une question ethnique, "communautariste", en un mot raciale. Ce qui n'est jamais qu'une conséquence de son péché originel, inavouable parce que lui collant à la peau comme son essence même : soumettant la planète à devoir réduire toute qualité à son poids dans la balance de l'épicerie, il catégorise tout ce qu'il touche en le transformant en marchandise, en chose échangeable, trafiquable, en le réifiant.

Les limites des luttes anti-colonialistes se déploient dans ce que l'on aperçoit aujourd'hui de leurs guignols, gérant au nom de leurs "frères de sang", les affaires d'un Kapital international anonyme et sans couleur. Partout les luttes particulières se sont retournées contre ceux-là mêmes qui les menaient du fait même qu'elles étaient particulières, qu'elles avaient failli quant à désigner l'ennemi, l'argent et l'État qui le gère, qui nous colonisent tous, partout étrangers sur cette Terre même qui nous fit naître.

Au-delà même de ce que le féminisme ne saurait dire, ce qui constitue sa défaillance - à savoir que la femme n'est pas seulement un objet pour l'homme soumis au business plan (féminin : direction des ressources humaines), elle est d'abord et avant tout un objet en tant qu'elle est identifiée comme femme -, il est une marchandise, dont certains, certaines, ont déjà fait leur fond de commerce et que d'autres, pressentant le filon, entendent bien voir agrémenter leur étal.

 

Dans l'affaire DSK, la voix des féministes entre dans le concert des oppositions comme la garantie d'une opposition moderne, "progressiste", donc - pourquoi pas "de gauche"*(2) ?!... - à la violence des hommes, des puissants (!), donc, de ce monde - l'impuissance, c'est bien connu, est une vertu, et Thatcher était un homme déguisé en femme ; à moins que ce ne soit l'inverse*(3) - des riches, des Blancs, des ....etc.

La valeur d'une action se mesure à son résultat, dit cette époque, qui pourtant ne veut rien entendre de ce principe quand il lui faut l'appliquer à elle-même. En d'autres termes, si nous avons bien lu nos traductions de Hegel, le résultat d'une action est aussi sa vérité, qui énonce la validité des principes qui ont présidé à sa mise en œuvre.

L'instrumentalisation dont cette affaire est l'objet est son résultat, non pas seulement comme business - dont le spectacle serait ici l'instrument -, mais bien comme projet : l'Amérique toujours là, bonne fille à la droite de Dieu, la voix des pauvres et des opprimés, de la justice divine pour tous, de la liberté des esclaves, des femmes, des Noirs - lesquels se partagent ses prisons avec les "Latinos" parce qu'ils ont "le rythme dans la peau" -, de Monsanto, des paysans indiens se sucidant librement de cultiver ses OGM, des Japonais crevant librement de se nourrir de poisson radioactif, ... l'Amérique quoi !, la Terre promise, qui, en pleine "crise financière", doit redonner des gages de sa toute-puissance en livrant à la curée des puissants devant ses pauvres médusés.

 

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NOTES

 

1 - Note du 29/05/2011 - Faut-il ici rappeler les méandres de l'aliénation réciproque que représente le couple tel qu'il est modélisé par la famille bourgeoise, sombre histoire d'alliances et de mariages arrangés sur fond d'intérêts garantis de chaque famille de préservation, voire d'augmentation de son patrimoine ?

Faut-il ici rappeler que cette "famille bourgeoise" a trouvé toute sa vérité, toute son horreur dans le cadre de la famille ouvrière, calée sur ce modèle, et qui a trouvé le lieu même de son épanouissement dans les clapiers spécialement construits à son intention ? Faut-il ici rappeler que, dans ce cadre, la femme - "maîtresse de maison" dit-on ironiquement -, n'a sans doute rien à envier à son costaud - esclave ordinaire de la marmite à faire bouillir - en matière de fureur, de coups tordus, de violence d'une vie contrainte dans le carcan du dénuement et de la survie, quand, par ailleurs, le matraquage idéologique d'une mise à l'index de l'autre sexe est tambouriné par les canaux de la propagande du "diviser pour mieux régner" ?

 

2 - Note du 29/05/2011 - On doit considérer ici le caractère "radical" de ce féminisme, comme se doit de l'être toute critique du capitalisme, quand le voici aussitôt enfourché par les camelots du fascisme galopant, dont la critique se fait toujours en termes de casseroles traînées par les uns ou les autres, en termes de vie privée et de mœurs, donc, là où, décidément, il ne peut plus y avoir de programme, quel qu'il soit - sinon réduit au mini programme simplifié d'un slogan tapageur : "La force tranquille", "Ensemble, la rupture", ... -, là où, décidément, la politique a définitivement démissionné *, tremplin d'hommes (et de femmes) soucieux de figurer afin d'en ramasser tous les bénéfices ... au nom de la République sainte et indivisible, comme il s'entend. 

 Voici donc une campagne (présidentielle !...) qui s'annonce du meilleur ton, au niveau de celui qui l'a ramené en ces terres voici quelques années, et qu'annonce déjà, après l'affaire DSK, l'affaire Tron. On nous parlera "honneur jeté aux chiens et présomption d'innocence" **!... et, ce faisant, d'un blanc-seing à jeter toute retenue morale aux orties !... Avantageux, n'est-il pas ?

Du plus parfait commedia dell'arte quand un ministre l'Intérieur présumait coupable un Colonna avant même qu'il ne fût jugé, quand son successeur, laquelle proposait tous les moyens de la république des droits de l'homme au maintien d'un dictateur, n'hésita guère à "présumer coupable" les épiciers de Tarnac, au motif qu'ils n'avaient pas de portable.

Peste soit des avaricieux ! Bientôt les grandes messes, Ave Maria, Famille Patrie, et tout le tintouin : bien au-dessus de la mélée et de ses odeurs de poubelle, voici venu le séraphin ; un enfant semble programmé pour "apaiser" et imposer la sérénité ... à la veille des élections en France ! En monarchie, il était de tradition que la naissance de l'héritier y donnât lieu à la liesse du petit peuple. En modernité, le renouvellement des "zélotes" n'a d'autre choix que de se plier aux règles d'un spectacle de signes contradictoires. L'ancien mannequin, reine-mère devenue promouvant une lessive en perte de vitesse, faisait part, il y a 3 ans à peine, d'une autre "vérité" (cf. notre article rêve de momie) :

"I'm not French at all," she said. "I don't have a French passport I have an Italian passport (...)". "French people are always negative. They also are crazy about their own language, so every time there's something that's not in French, they get so mad about it." aurait-elle confié au Daily Mail

En vertu du droit du sol - toujours en vigueur en ce pays, grâce à quoi un fils d'immigrés peut prétendre le gouverner en dépit même des vertueuses incitations à la haine raciale de ses ministres de l'Intérieur  -, cet héritier risque d'être français. Du plus parfait fâcheux. Allons ! per la famiglia e la patria, un Ave Maria, pleine de la grâce du concombre espagnol et autres japonaiseries***, ...

What else ?

Amuser la galerie, la tenir pour un ramassis d'abrutis, voilà qui devrait distraire - qui en douterait ? -, de ce que ce monde s'écroule sans plus de direction que celles que l'argent doit se frayer pour se reproduire.

 

 * Note du 30/05/2011 - À contre-courant d'une presse se faisant l'écho servile des manipulations de la domination, l'article d'Alain Garrigou sur son blog du Monde diplomatique ne crache pas sur un homme à terre - fut-il ce qu'il est -, mais tente de tirer des enseignements nous éclairant sur les mécanismes ayant présidé à sa chute :

"En liant le succès politique à celui de champions, la course de chevaux prend un aspect dramatique et médiocre car elle focalise aussi les luttes sur la personne des chefs, leurs qualités et leurs défauts, leurs belles actions et leurs défaillances, voire leurs crimes. La diabolisation est le revers de l’exemplarité mise en scène dans la pipolisation.
Le scandale devient la stratégie banale de la lutte électorale comme on l’a vu récemment avec l’affaire Clearstream et aujourd’hui avec l’affaire DSK. Comment vaincre un concurrent mieux placé voire déjà vainqueur selon les sondages, sinon en discréditant l’adversaire ou au moins, en espérant qu’il le sera par ses propres erreurs, par des concours providentiels et en y aidant un peu si nécessaire ?"

Bien qu'il n'en soit jamais fait explicitement mention, c'est bien de la marchandisation du petit personnel politique dont il est ici question (cf. " Cannes a sonné pour Héllènes"). Agités comme des lessives, les voci, à présent, à devoir figurer comme bêtes de cirque - par la pente toute naturelle de la "démocratisation" - du sport populaire favori du public anglo-saxon, le combat de boxe, ou, mieux encore, de chiens, davantage que la course de chevaux, trop aristocratique pour le petit peuple, malgré le turf auquel le voici assujetti à croire comme son activité principale d'ascension sociale.

 

**MAJ du 2/06/2011 - Puisque cela semble désormais permis, et même à la mode puisque susceptible de rapporter - au moins quelque célébrité - voici donc toutes les anciennes de découvrir qu'elles furent, quelque jour de le leur ancienne vie, du temps où, ..., il y a quelques décennies, ...,, "victimes" - c'est surtout cela qui est important, la mise en scène de la "victime", surtout si elle ne l'est pas et qu'il faille donc battre la campagne - de quelque ancien affreux jojo, patron, comme il se doit, et machiste, comme la mode actuelle le dit qu'il doit être.

Qu'il y ait une guerre des sexes, voilà qui ne saurait être nié, au moins aussi ancienne que le pouvoir. Ce qui semble plutôt plaisant c'est la soudaine faveur à la dénoncer - plus que tardivement, longtemps après les faits - et alors même que cette mise à l'encan de l'autorité des hommes par les femmes n'est, le plus souvent, en rien une critique du pouvoir, mais seulement une manière d'en revendiquer la possession par quelque nouvelle disposition juridique, aggravant ainsi toujours plus cette guerre des sexes, tout en permettant de passer sous silence, de mettre à distance - comme relevant d'une sphère qui aurait moins de prise que celle, immédiate, de l'intime - les abus de pouvoir, bien réels, mais qui ont le défaut de ne mettre en évidence que des rapports sociaux nécessitant un changement radical de société - et non seulement des corrections de langage ou de mœurs - : pouvoir des banquiers, pouvoir du lobby nucléaire, agro-pharmaco-alimentaire, pouvoir qu'exerce la mise en coupe réglée de nos existences par sa marchandisation, et dans laquelle s'inscrit la réification du corps de la femme, mais aussi bien, celle du salarié, sans que cette équivalence ne soit jamais signifiée. LE SALARIAT EST UN VIOL, mais personne ne le dit jamais, tant il est devenu une évidence de la "normalité", une banale affaire d'humiliation quotidienne, de mise à genoux sans qu'il soit entendable même d'en faire un fromage ; ce n'est pas un hasard qu'une part non négligeable de viols ait lieu sur les lieux du chagrin, comme sa vérité même, quand un supérieur se croit en position de ne rien se voir refuser par celui ou celle qui se touve, de fait, à sa merci. Qui dit, dans ces affaires, combien TOUTE relation professionnelle d'autorité s'avère un ABUS DE POUVOIR dans un monde où autorité rime avec dépossession de tout contrôle, par l'immense majorité, des buts mêmes de l'existence.

Chacun, donc, d'y aller de sa petite pierre de la lapidation autorisée, jusqu'à ce "philosophe" qui, tardivement, et parce que la mode est décidément à la fureur moraliste - dont on sait quels sont ceux qui la mènent et leur haute moralité en matière de respect des humains, bafoués, maltraités partout sous leurs règnes -, se met à jeter son "pavé dans la mare", comme il le nomme. En fait de pavé, on dira plutôt "intention de" ... (nuire ?!...). Voilà, au moins, une belle preuve de présomption d'innocence : dénoncer sans preuve. Décidément, le parti au pouvoir a le sens des réalités, celles qu'il construit de toutes pièces ... et dans le combat de chiens ouvert il y a peu, on va dire 1 à 1 ; le dernier coup compte pas : plouf, plouf ! patatras !

" - Maman, c'est quoi "philosophe" ? - C'est faire des ronds dans l'eau ! ..."

 

***MAJ du 31/05/2011 - "Quelques jours après le début de la crise à Fukushima Dai-Ichi, le gouvernement a augmenté la dose limite de radioactivité à laquelle pouvaient être exposés les ouvriers travaillant sur place. Elle est passée de 100 à 250 millisieverts par an, une mesure autorisée dans les cas d'urgence par les organismes internationaux.


3 - Note du 30/05/2011 - Qui, dès lors, ne se féliciterait du choix judicieux, aussitôt trouvé, du remplacement du "père vert" par une femme ? Le fait que, peu avant son entrée au gouvernement, "elle défendait les intérêts des multinationales états-uniennes contre ceux des entreprises françaises et européennes. (et que) Ses positions politiques s’accordent parfaitement avec son engagement militant au sein du CSIS, le think-tank du lobby pétrolier aux États-Unis"., devrait lui valoir d'en être aisément exfiltée par la grande porte.

Chacun devrait apprécier, après son lobbying réussi dans l'affaire Tapie contre gouvernement français,

 

 

SOURCES

 

Note 2 -

http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/05/29/fillon-le-ps-doit-ravaler-ses-lecons-de-morale_1529044_823448.html#ens_id=1527485

 

http://www.dailymail.co.uk/news/article-509247/The-French-miserable-Sarkozys-Napoleon-says-lover-wife-Carla-Bruni.html 

 

http://www.lemonde.fr/japon/article/2011/05/30/fort-taux-d-iode-radioactif-dans-la-thyroide-de-deux-ouvriers-de-la-centrale-de-fukushima_1529194_1492975.html

 

Note 3 -

http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/05/29/affaire-tapie-christine-lagarde-contre-attaque_1529050_823448.html


 

LIENS

   

Note 2* -

 http://blog.mondediplo.net/2011-05-23-La-course-de-chevaux-la-pipolisation-et-le

 

Note 3 -

http://www.voltairenet.org/article17340.html#article17340

 

 


Publié dans De la Représentation

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